Dossiers

Depuis plusieurs mois, le dialogue social à la DGA est difficile avec un désagréable sentiment d’une DGA partagée. En local, dans les centres, une absence de dialogue social est constatée car les directeurs de centres ne sont plus décideurs, ou avec parfois un pseudo dialogue social mené pour calmer les équipes (exemple fermeture ou non du département Études et Protection de Bourges). Et on découvre une DGA « parisienne» tournée vers les enjeux d’avenir mais qui ignore les difficultés du quotidien des centres ou seules les compétences des ICT et OCTA sont prises en comptes.

Cette semaine, et durant tout le mois de mars, la CFDT a été sous les feux de la rampe par rapport à ses positions sur la loi travail. Pourquoi ? Que craignent ceux qui nous critiquent? Qu’a fait la CFDT de si gênant à leurs yeux?

La CFDT avait et garde des attentes fortes vis-à-vis du Projet de loi El Khomri. Il doit s’agir de la suite des réformes engagées pour transformer notre modèle de développement par le renforcement du dialogue social, la montée en compétence et la sécurisation des parcours des salariés.

Cette semaine, nous avons participé au Conseil National Confédéral (CNC) à Paris. C’est l’occasion pour les URI, les fédérations et les Unions confédérales (UFFA, UCR, CFDT Cadres) d’évoquer l’actualité dans leurs interventions à la tribune. C’est aussi pour la confédération un moment privilégié pour faire un point de situation national et d’échanger avec les structures fédérales.

 Pour notre part, dans notre déclaration, nous avons mis en avant notre soutien à la stratégie confédérale qui consiste à négocier des accords pour engranger des acquis et les valoriser.

Le dernier sommet de l'OTAN a fixé aux États membres l’objectif de consacrer à leur effort de défense 2 % de leur PIB d’ici 2025. Et rares sont les pays à être actuellement dans les clous...

Les dépenses militaires françaises, d’un montant total de 31,4 milliards d’euros (hors pensions), représentaient 1,52 % de son PIB en 2013. Et ce n’est évidemment pas la hausse de 700 millions d’euros prévue cette année qui permettra d’atteindre la norme fixée par l’Otan.