Dossiers

Cette semaine le conseil national confédéral (CNC) était réuni boulevard de la Villette. Au menu, interventions des fédérations et des unions régionales sur l’actualité, le chantier « évolution de l’organisation » ou encore le lancement de l’enquête « parlons travail !».

Le débat d’actualité revendicative a été quelque peu centré sur la loi travail et les différentes interventions à la tribune ont toutes soutenu la position de la CFDT pour défendre une loi largement améliorée par la CFDT et qui apporte certains progrès pour les salariés, n’en déplaise aux sceptiques. Vous avez d’ailleurs dans cette NF la déclaration du CNC (cf.PJ).

Pour écrire un édito de NF, le sujet se décide quasiment toujours à la dernière minute en fonction de l’actualité, de la disponibilité et l’envie des secrétaires nationaux. C’est alors que commence à pointer le syndrome de la page blanche car le temps est compté avant la diffusion de cette chère NF.

Pour celle-ci, j’aurais pu choisir de traiter de la loi travail mais le sujet a déjà été pris antérieurement… et le projet est passé même si c’est par un grand coup de calibre 49-3.

Les défilés du 1er mai ont une fois de plus exacerbé deux conceptions opposées du syndicalisme : pendant que certains huaient non seulement le nom de Laurent Berger, ils  s'en prenaient également aux militants des entreprises ; belle preuve d'intolérance au dialogue et au droit à une opinion différente !

De son côté la CFDT est passé de l'action à l'explication, afin de ne pas rejeter une loi du travail porteuse d'avancées significatives, mais qu'il faut encore améliorer.

Et bien, ordinairement vous seriez tenté de penser au canal ou au chapeau ou encore au pays tout simplement, ce beau pays enserré par le Costa‐Rica d’un côté et la Colombie de l’autre, ce paradis tropical qui fait le bonheur des botanistes et des touristes, bordé par la Mer des Caraïbes au nord et le Pacifique au sud... quelle belle image de vacances !

Mais en ce moment, ce n’est pas vraiment l’image que l’on se fait de Panama. Elle est un peu ternie et salie l’image...et c’est bien dommage.

Depuis plusieurs mois, le dialogue social à la DGA est difficile avec un désagréable sentiment d’une DGA partagée. En local, dans les centres, une absence de dialogue social est constatée car les directeurs de centres ne sont plus décideurs, ou avec parfois un pseudo dialogue social mené pour calmer les équipes (exemple fermeture ou non du département Études et Protection de Bourges). Et on découvre une DGA « parisienne» tournée vers les enjeux d’avenir mais qui ignore les difficultés du quotidien des centres ou seules les compétences des ICT et OCTA sont prises en comptes.