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Les conditions de prolongation sont plus restrictives que les années passées, 2,25% des effectifs du corps soit 126 et 129 promotions annuelles, une part de l’examen professionnel portée à 60% en 2022 puis 65% en 2023.
Pour la CFDT Défense ces chiffres sont indécents et pas à la hauteur des attentes !
Comme nous l’avions déjà pressenti dès l’annonce de ce plan de requalification en 2019, beaucoup trop d’agents resteront sur le bord de la route. Cette requalification était initialement prévue pour résorber le nombre important d’agents (1056) en distorsion de poste. Le compte n’y est pas ! Dans les faits, l’organisation de l’examen professionnel n’a pas permis à tous les agents concernés d’être promus.
Pour la CFDT Défense, l’administration doit assumer sa politique de gestion des emplois. Elle se doit de promouvoir tous ses agents en distorsion de poste qui n’ont pas à subir les errements des employeurs en termes de gestion. Par ailleurs, ces mêmes employeurs continuent à créer des distorsions. Où est la logique ?
Comme en 2019, la CFDT Défense s’oppose aux conditions de mise en œuvre de ce plan de requalification qui n’est pas équitable envers tous les adjoints administratifs. Tous les agents concernés doivent être promus au choix !
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